Las Tunas
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« Quésaco, las Tunas » ? C’est ainsi que José Parés
a débuté sa conférence car, en effet, parmi les 50 adhérents présents quelques-uns
se posaient la question.
Dans le même esprit
décontracté et jovial que celui des « tunos », José nous a fait
découvrir ces groupes d’étudiants universitaires passionnés de chants et de
musiques traditionnelles qui perpétuent les manifestations estudiantines datant
du XIIIe siècle.
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José nous avait préparé un karaoké nous permettant à tous de chanter « Clavelitos » et avec la vidéo de la Tuna de Valencia nous avons pu admirer la danse de l’étendard, du manteau et du tambourin. Merci José, pour cette intéressante conférence et à la prochaine…
La conférence s’est terminée par un reportage sur Salamanque, destination du voyage en mai, et le pot de l’amitié avec la découverte du punch « Manzana Caliente » et la dégustation du « Roscón de Reyes ».
La conférence s’est terminée par un reportage sur Salamanque, destination du voyage en mai, et le pot de l’amitié avec la découverte du punch « Manzana Caliente » et la dégustation du « Roscón de Reyes ».
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A l’origine c’étaient des étudiants pauvres qui chantaient sur les places en échange de la « sopa boba » d’où leur nom d’origine « los sopistas » et leur emblème : la cuillère de buis qu’ils portaient sur leur bicorne. Leur nom est devenu « Las Tunas » au XVIIe siècle. Il vient d’un nom français, le roi de Thunes, utilisé par le chef des mendiants de la Cour des Miracles de Paris. Aujourd’hui, leur tenue est identique et l’on trouve un grand nombre de Tunas à Salamanque, ville de leur origine, et dans les villes universitaires d’Espagne, du Portugal et de certains pays d’Amérique Latine. Il y en avait même une à Toulouse dans les années 60. Depuis 1980 des groupes de filles concurrencent les garçons et créent aussi leurs Tunas.
Le diaporama de la conférence
